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LE COSME DU
CERINFORMYO / CESTREMYOCO
CENTRE D'ÉTUDES ET DE RECHERCHES POUR L'INFORMATISATION ET LA MYOPIE
Dr. Jean-Dadet Baptiste DIASOLUKA Nz. Luyalu
CENTER FOR STUDIES AND RESEARCHES FOR MYOPIA AND COMPUTATION
Un OVNI dans le ciel de l'Angola vers juillet 1998
Dr DIASOLUKA Nz Luyalu (Ophtalmologiste)
&
XXXXX Xxxxx (Superviseur de bateau)
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Un OVNI (objet volant non identifié = Objeto Volador No Identificado) / UFO (Unidentified Flying Object) / PAN (Phénomènes Aérospatiaux Non Identifiés dans les termes du ministère de la défense britanique) / M.O.C. (Mystérieux objets célestes) dans le ciel de l'Angola vers juillet 1998. Un bâtiment colossal qui doit être métallique et de forme presque comme une souris d'ordinateur mais avec des angles, dont je ne peux plus évaluer les dimensions, mais je peux estimer les côtés comme suit : longueur = côté latéral de l'engin environ 100m (15 mètres pour l'ami), largeur = arrière à 50m (6m pour l'ami), comportant à la lumière de nos souvenirs deux niveaux faisant une hauteur totale d'environ 15-20 m (j'ai oublié de demander l'avis de l'ami), et pesant sûrement plusieurs centaines de tonnes. Ce bâtiment n'avait en tout cas pas la forme d'une soucoupe [volante], il était sans ailes ni ailerons, n'avait apparemment pas d'hélices et il ne tournait pas autour de lui-même, ultrasilencieux comme un ballon ou un planeur. L'engin volait à une altitude très basse, peut-être moins de 500m |
J'ai beaucoup lu ces derniers temps sur Internet des récits sur des OVNIs (1), les ETs (extraterrestres, les Aliens, Ummites ou Oummains, etc, bref les petits hommes gris, verts, bleus, reptiliens, etc qui ne sont ni nos frères ni nos amis ni nos serviteurs ni nos sympathisants),... Ce qui m’a rappelé avoir moi aussi vécu une observation curieuse de ce genre dans le passé. C'est ainsi que j'ai profité de la rencontre avec un ami (cosignataire de cette page Web) avec lequel nous partagions la maison et avec lequel nous avons ensemble vécu l'événement, pour en reconstituer les souvenirs. L'ami cosignataire de cette page, XXXXX Xxxxx (dont je tais expressément l'identité), est de formation Auditeur d'entreprise, mais il a aussi travaillé (an 2004) en tant que Superviseur de bateau sur le fleuve Congo.
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PRÉLUDE, EN LEVÉE DE RIDEAU:
(philosophico-ficto-réalo-imaginario-agrémentaire)
Seules les questions sont réelles !
Le texte d'enrobage (d'habillage) est imaginaire
juste pour agrémenter mais aussi soporifier la lecture.
Encadré enrichi le 23-avr-2011 09:23
Et comme on y est, risquons une bonne fois pour toutes :
Tenons-nous fermement, et faisons enfin tous ensemble un plongeon final fatal vers l'ignardise la plus extrême, abjecte et bêtissime avant de nous éjecter de notre déambulation...
Ouf, bizarroïde : paradoxalement aux lois gravitationnelles habituelles, le saut nous emmene plutôt au plein coeur de l'univers au lieu de nous immerger dans le fin fond du magma centroterrestre, heureusement que nous y arrivons sains et saufs malgré qu'essouflés et tous transsudants de sueurs froides. Et là une question nous frole l'esprit :
Submergé dans ce tas des douze fermions décrits par le modèle standard y compris donc les huit de la deuxième et troisième générations, on fusionne et on se confond avec l'énergie, l'anxiété nous envahit donc de plus en plus et risque de nous faire éclater en mil morceaux. On commence à redouter une avalanche de nouvelles myriades de nouvelles inconnues insolubles. Une seule solution, on doit rentrer sur notre belle et hospitalière minuscule graine la Terre mais comment ? On n'est plus sûr des plongeons, ils conduisent à des destinations erratiques inattendues, et de toutes les façons, ils (les plongeons / sauts) semblent ne plus réussir : on se sent fichtrement fichu, perdus dans le vide plutôt en plein centre de l'univers, sans savoir comment rentrer. On se résigne, on abdique, on accepte la nouvelle condition de n'être plus terrien mais centro-universel : on se console de désespoir et à contre coeur dans l'idée qu'après tout c'est plus de notabilité que d'être simple terrien : être un habitant du CENTRE DE L'UNIVERS.
Et brusquement... une étoile filante non lumineuse, non illuminante... en plein centre de l'univers ¿¡ Aïe, le météorite nous aspire comme un aimant sans que nous ressentions une quelconque attraction... Véritable abduction. Ouf, on se retrouve aussitôt comme en un clin d'oeil à l'intérieure du météorite sans savoir comment on a traversé son écorce. Mais non, c'est un engin ultrasophistiqué à mil et une couleurs qui n'a rien de pareil avec tout ce qu'on a vu de notre passé, piloté par des humanoïdes rappelant à se perdre sans plus ni moins des descendants d'homo sapiens comme nous. On a crié Eureka croyant être les premiers à voir des êtres exobiologiques et de plus, évolués... et ce de visu. “Excusez-nous de nous être retrouvés dans votre espace sans savoir comment ; nous sommes des terriens qui nous sommes retrouvés au centre de l'univers sans vraiment savoir comment”. -«Ah, bon... vous n'êtes donc que des terriens, extrasidéraux ? Nous aussi nous sommes des terriens de l'an 9'999, de la base S4 ; nous sommes en route vers la terre venant de parcourir tout l'univers à la recherche de vie extra-terrestre, le projet SETI ne nous inspire plus confiance. On a exulté quand on vous a perçus croyant en avoir découvert in extremis. Dans ce cas on vous libère » ? Sans nous rendre compte du décalage de temps qui nous séparait d'eux (8'000 ans), et sans nous préoccuper en quelle date nous même étions en dehors et à l'intérieur du vaisseau, nous avons accepté de faire route avec eux vers la même destination dont on ignorait tout autant l'année : “Non, non, non. Nous cherchions désespérément justement comment rentrer sur Terre, si ça ne vous dérange pas, on peut faire route ensemble dans votre superbe engin, merci d'avance”. Avant d'avoir terminé de parler, on se retrouve dans le vortex d'un portail multidimensionnel d'un “trou noir - trou de ver” ultra-microscopique qui sent du déjà-vu , et clic => déjà au-dessus de la Terre (qui ne pointait même pas jusque là à l'horizon... Même un OVNI à propulsion MHD n'aurait pas été aussi véloce) dans la province de Malanje en Angola.
Pendant qu'au-dessus de Malanje le temps nous paraît suspendu / figé / arrêté un délire bizarre me saisit soudain :
ENTRÉE EN LA MATIÈRE:
Parenthèse ajoutée au 1 décembre 2010 1:26 AM
Les amis et la population qui étaient avec moi eux, ne somnolaient pas [du moins sûrement pas tous].Un soir d'il y a ans (vers juillet 1998), presque quatre ans avant l’assassinat de Jonas Malheiro SAVIMBI (1934-2002) fondateur et leader de la guérilla angolaise UNITA (Union Nationale de l'Indépendance Totale de l'Angola) qui a duré 32-33 ans, ce doit être vers 21hrs locales, dans le village (baïro) non électrifié de Caculama, dans la province de Malanje dans la République de l'Angola, je dormais dans la maison quand brusquement du dehors l'ami cosignataire de cette page et un autre ami avec lequel je partageais la maison me pressèrent de sortir.
Sorti, ils me demandèrent de vite regarder vers le ciel et... que vis-je dehors, tout somnolent ? Un bâtiment colossal d'apparence métallique et de forme presque comme une souris d'ordinateur mais avec des angles, dont je ne peux plus évaluer les dimensions, mais je peux estimer les côtés comme suit : longueur = côté latéral de l'engin environ 100m (15 mètres pour l'ami), largeur = arrière à 50m (6m pour l'ami), comportant à la lumière de nos souvenirs deux niveaux, et pesant sûrement plusieurs centaines de tonnes (taille apparente de plusieurs camions gros tonnage entassés).
Ce bâtiment n'avait en tout cas pas la forme lenticulaire d'une soucoupe [volante], il était sans ailes ni ailerons, n'avait apparemment pas d'hélices et il ne tournait pas autour de lui-même, ultrasilencieux comme un ballon ou un planeur.
L'engin sans ailes volait à une altitude très basse, peut-être moins de 500m (1000 mètres pour l'ami), vu sous un angle peut-être de 45°, assez lentement (vitesse apparente d'environ 10-30 km/h à peu près la vitesse angulaire d'un piéton, les dimensions de l'appareil influençant peut-être cette estimation, mais en tout cas c'était une vitesse qui ne permettrait pas une sustentation dans l'air même pour un avion ailé. Mais il est resté bien visible pendant environ 5 minutes (une trentaine de minutes pour l'ami) avant de disparaître à l’horizon caché par les maisons, en suivant une trajectoire linéaire. Le lendemain, tout le monde se souvint des faits, mais il n’y a pas eu de nouvelles de crash d’avion ou de station orbitale. Un ami (le cosignataire de cette page) avec qui on a observé ce fait s'en souvient lui aussi jusqu'aujourd'hui (jeudi 20 janvier 2005, 1:11:34pm [7 ans après]).
C'est comme si cet engin se déplaçait totalement sans bruit comme un planeur (je me souviens assez vaguement que cette absence de bruit m'avait fortement impressionné), sinon de toutes les façons je l'aurait entendu à partir de la maison. J'ai comme l'impression qu'il ne dégageait pas non plus de fumée ou de flamme dans un tuyau d'échappement que l'on n'a du reste pas observé.
L'engin n'avait ni ailes ni ailerons ni hélices ni apparemment de moteur à réaction. Il comportait à sa partie supérieure de larges fenêtres plus grandes que celles d’une maison et l'intérieur spacieux était très bien éclairé avec une lumière blanc-jaunâtre comme celle des lampes à bulb de 100 Watts ou plus. Il ne me semble pas avoir vu de silhouettes de créatures encore moins animées de semblant de vie ; le cosignataire de cette page qui a vécu ce phénomène plus longtemps que moi n'a pas non plus vu de telles silhouettes.
En rédigeant ce texte d'abord seul, je me suis à un moment demandé si dans ma mémoire relative à ce fait quelques écrous n'étaient pas déjà en train de "se desserer", alors j'ai sollicité les souvenirs de l'ami cosignataire de ce texte avec qui on s'est retrouvé en RD Congo (d'autres témoins =tous nos voisins d'alors à Caculama= n'étaient pas accessibles car restés en Angola). Dans nos souvenances avec l'ami, je ne me rappelle pas avoir vu de projecteurs ou autre lampe externes, mais les appartements de l'appareil étaient bien éclairés en jaune tungsten.
Dommage
J'avais en main déjà en 1982 un livre sur des OVNIs (Objet Volant Non Identifié) qui avait retenu mon attention mais que je n'ai pas eu le temps de lire, et j'avais même avant ça vaguement entendu parler des soucoupes volantes, et j'avais même moi-même fait un raisonnement sur les Extraterrestres dans un journal local [à Kinshasa, vers les années 1991] dont je n'ai plus d'exemplaire, raisonnement que j'ai repris in extenso dans le chapitre-III « DE LA COMMUNICATION AVEC LES EXTRA-TERRESTRES » dans un petit ouvrage philosophico-religieux « PORTÉE ET COMPRÉHENSION DE LA PAROLE DE DIEU » que j'avais écrit et édité moi-même daté 23 nobvembre 1994. Ce même texte a été repris dans mes url comextra@diassites et comextra@nouvelobs. Mais cette nuit-là je n'ai malheureusement vraiment pas pensé à l'existence éventuelle d'OVNIs ou d'extra-terrestres, autrement j’aurais été plus attentif dans ce sens. De plus on avait malheureusement pas non plus de caméra photo ou vidéo pour fixer les faits (pas comme preuve matérielle, mais pour partager l'image), de toutes les façons dans cette distraction on n'aurait même pas pensé en ce moment-là à prendre une photo. Parmi les commentaires des observateurs, mon point de vue auprès de ceux qui étaient avec moi fut qu'il s'agissait d'un engin peut-être américain d'espionnage doté des dernières technologies (aujourd’hui on aurait dit qu’il vient droit de l'Area 51 ou de la Zone S-4) en mission expérimentale de reconnaissance et de prise de photos, puisque c'était la période où les USA faisaient des pressions sur SAVIMBI pour abandonner la rébellion.
Pour mieux situer les faits dans le temps, ce fut à peu près un mois après la pénétration, selon les accords bipartites de la suppression des barrières UNITA/MPLA, des forces gouvernementales MPLA-FAPLA dans Domingos-Vaz jusque là occupé seulement par l'UNITA de Savimbi.
Mes Questions :
Ce qu'il faut retenir :
Contraire aux détractions, il ne s'agissait en tout cas ni d'un OFNI (Objet Flottant Non Identifié) ce qui ne change rien d'ailleurs, ni d'un OVNIAM (Objet Volant Non Identifié par l'Abruti Moyen), mais bien d'un OVVVNI (Objet Volant Vraiment Vraiment Non Identifié)
Mais en fait, un OVNI c'est quoi ? -Tout Objet Volant Non Identifié, c'est-à-dire dont on ignore la nature technologique et la provenance / appartenance, pas nécessairement ayant un quelconque lien avec d'éventuelles ETs ? Des gens ont aussi observé des O.A.N.I. (Objets Aquatiques Non Identifiés). Pour mon cas je pense qu'on devait parler de O.P.N.I. (Objet Planeur Non Identifié).
Ce qui suit « since now on » n'est pas la suite du témoignage qui précède.
Il est à lire comme un bLog.
C'est une compilation en méli-mélo d'extraits de textes à publier et d'autres déjà publiés, des synthèses et mes reflexions sur les publications d'autres auteurs principalement sur le sujet OVNI/UFO, mais aussi mes réactions ectopiques [hors de leurs pages] aux commentaires à ces travaux [des autres], liste de merveilles et curiosités (faits étranges et inexpliqués) du monde, mais aussi mes raisonnements personnels et questions à partager sur l'étrange, une liste des types d'ETs que j'ai rencontrés dans la littérature... et autre micmac, bref une collecte de pensées.
Si l'enchaînement dans la lecture et la compréhension de ce site posent problème, quelques explications sont dans le FORUM UFOFU où vous pouvez réagir, et j'amenderai ce site en conséquence.
Questions intriguantes :
Quelques dernières questions que je [me] pose de façon général en rapport avec le phénomène OVNI et les éventuels ETs:
Pour les sceptiques irréductibles, Je puis ici rassurer et confirmer sans ambages, loin d'être un BELIEVER, que le phénomène relaté n'avait aucun lien avec une éventuelle imagination ou imagerie humaines, ni une hallucination collective, ni en rapport avec "l’inconscient collectif de Jung", ni en rapport avec un quelconque hypothétique prétendu univers parallèle (UP) ou de retombées psychophysiologiques de projections mentales en relation avec le contenu du psychisme, pouvant générer un syndrome du genre sensitivité électrique.
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